- Ces 2 explorations ont été réalisées chez des patients différents, chaque équipe chirurgicale ayant son propre mode d'examen ce qui introduit un biais important.
- Du fait de caractéristiques élastiques, le tendon rotulien et les ischio-jambiers ne réagiraient pas de la même façon lorsque les contraintes augmentent : dés 16 Kg les Ischio-jambiers obtiendraient leur allongement maximal alors que le tendon rotulien ne le ferait qu'à 25 kg. Mais la compliance, qui serait alors négative, ne plaide pas pour cette hypothèse.
- Les 2 équipes utilisant les ischio-jambiers et pratiquant des mesure à 25 kg ont une expérience plus grande et plus ancienne. La " learning curve " pourrait alors expliquer la bonne qualité de la laxité résiduelle. Une de ces 2 équipes utilise une technique particulière incluant un passage fémoral " out-in " et une double fixation aussi bien fémorale que tibiale. Cette différence pourrait-elle améliorer le résultat ?
- L'existence de difficultés dans la réalisation du protocole radiographique à 25kg pour des radiologues ou manipulateurs peu habitués pourrait entraîner des anomalies de mesure.