Pourcentage dÝíutilisation KJ - DIDT

 

Plus des trois quart des chirurgiens utilisent, de façon quasi systématique (95 %), soit l'une soit l'autre des 2 techniques (Fig.2). L'interprétation de ces chiffres est assez difficile ; Les partisans de l'utilisation du DIDT sont-ils suffisamment convaincus de la qualité de ce transplant pour ne plus utiliser que lui ? Les partisans du KJ sont-ils convaincus de la meilleure qualité du tendon rotulien et de sa fixation ou craignent-ils l'apprentissage d'une nouvelle technique ?

Néanmoins près d'un quart des opérateurs a une attitude intéressante puisqu'ils choisissent l'une ou l'autre des 2 techniques en fonction d'indications qu'il nous faut essayer de préciser.

 

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